PHILIPPE , LAURENCE
et..... les chiens
J’ai rencontré Philippe, 1er
adjoint et Laurence, secrétaire de mairie de St Silvain-Bas le Roc dans la mairie où je suis venu leur raconter ma mésaventure.
Depuis Redon, après 700 km de marche j’ai rarement été ennuyé par des animaux sur mon chemin. J’aperçois assez régulièrement des chiens derrière les clôtures qui aimeraient en découdre mais les grillages les maintiennent à distance.
Juste avant un petit bourg, je longe une maison en « chantier »… Trois chiens de type Pointer anglais ou Retriever aboient à mon approche. Sans me laisser intimider , je continue mon chemin .Les bêtes accourent vers moi et soudain je sens des crocs sur mon mollet à travers chaussette, pantalon, guêtre. Ma réaction est rapide et bruyante. Un coup de pied et un cri de rage les font fuir… J’appelle les propriétaires pour me plaindre de cette situation. Personne ne sort du capharnaüm où se sont repliés les chiens. En arrivant au bourg, je passe justement devant la mairie. Laurence m’accueille gentiment et à l’écoute de mon explication ,situe immédiatement « la propriété ». Philippe, 1er adjoint, en réunion dans une salle voisine est appelé. Ils conviennent tous les deux que cette situation n’est hélas pas nouvelle. Ils semblent être bien ennuyés car le dialogue avec les propriétaires des chiens est difficile semble-t-il.
Je reprends mon chemin , peut-être un peu plus méfiant...
Depuis Redon, après 700 km de marche j’ai rarement été ennuyé par des animaux sur mon chemin. J’aperçois assez régulièrement des chiens derrière les clôtures qui aimeraient en découdre mais les grillages les maintiennent à distance.
Juste avant un petit bourg, je longe une maison en « chantier »… Trois chiens de type Pointer anglais ou Retriever aboient à mon approche. Sans me laisser intimider , je continue mon chemin .Les bêtes accourent vers moi et soudain je sens des crocs sur mon mollet à travers chaussette, pantalon, guêtre. Ma réaction est rapide et bruyante. Un coup de pied et un cri de rage les font fuir… J’appelle les propriétaires pour me plaindre de cette situation. Personne ne sort du capharnaüm où se sont repliés les chiens. En arrivant au bourg, je passe justement devant la mairie. Laurence m’accueille gentiment et à l’écoute de mon explication ,situe immédiatement « la propriété ». Philippe, 1er adjoint, en réunion dans une salle voisine est appelé. Ils conviennent tous les deux que cette situation n’est hélas pas nouvelle. Ils semblent être bien ennuyés car le dialogue avec les propriétaires des chiens est difficile semble-t-il.
Je reprends mon chemin , peut-être un peu plus méfiant...
Les chiens, la plaie des randonneurs. Mais les chiens ont des maîtres...
RépondreSupprimer"En février, remplit tes fossés". Une averse ça va. Mais quand l'averse dure toute la journée !
Ici nous avons eu droit à un vrai gros coup de vent.
Bonne marche,
Paul